Il vaut mieux faire un pas de côté, et interroger tous les a priori qui font de la plupart d’entre nous des esclaves d’un système de pensée aliénant, avec des croyances héritées, acquises sans vérification, et de mon point de vue totalement illégitimes.
Voici une des pires croyances instillées par ceux qui sont partisans du renard libre dans le poulailler libre.
Une
supercherie majeure.
Les
investisseurs veulent gagner du pognon.
On
veut bien les croire.
Ils
prétendent aussi être les seuls moteurs incontournables du progrès.
Cela
n’est pas vrai.
Quand
vous entendez, lisez ou voyez un reportage sur la fortune d’un
quidam, les éditeurs embrayent rapidement sur les bienfaits qu’il
aurait apportés à l’humanité (ce que ce richard prétend
toujours, effrontément), et sous entendent que ces bienfaits
n’auraient pas été possibles sans l’accumulation du pognon de
ce quidam montré en exemple.
Un
examen attentif permet de débusquer à tout coup cette supercherie.
L’avidité
n’est pas nécessaire pour améliorer la vie sur terre. Point.
Les
inventeurs de nouveautés utiles se font presque toujours dérober
leur diffusion par des investisseurs.
A
nos yeux, investisseur est une insulte aussi grave qu’économiste.
Repensons
aux salopards qui achètent les brevets de remèdes uniques, et
multiplient leur prix par des facteurs incroyables.
Et
n’acceptons plus l’adoration que nous infligent les merdias pour
les milliardaires.
Étudiez
de près l’histoire détaillée des accumulations de fortunes.
Comparez
la avec celle de telle ou telle famille mafieuse.
Et
venez exiger un autre système.