Ah,
Badinter au Panthéon ? A tous les coups, on va y avoir droit !
« La peine de mort » ? Une tempête dans un verre d’eau ! Une « peine de mort »
qui ne concernait plus personne ; une abolition sans risque politique puisque
la « peine de mort » comme enjeu politique et sociétal ne relevait plus que du
« bistro du commerce » le matin devant un café-calva ou bien à l’heure de
l’apéro après le troisième pastis.
Son abolition en 1981 n’a fait aucun remue-ménage. Personne n’est descendu dans
la rue pour réclamer son rétablissement :
"Allez M. Badinter, dans une abolition sans coup férir, on triomphe sans
gloire !"
Il y a quelque chose de sordide dans cette quête conscience ou inconscience
pour une reconnaissance imméritée ; une reconnaissance usurpée.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération