Le problème est l’opacité de certains choix éditoriaux, qui suscite la suspission, à tort ou à raison. Donner la parole au Pen et pas à François Bayrou, c’est étrange dans l’absolu. Chacun sait que sa réaction était importante politiquement puisque la période électorale n’est pas finie. Il est la tête de file d’un parti doté d’un potentiel électoral important. Il reste les législatives et les municipales.
Il ne serait pas mauvais pour leur propre crédibilité que les journalistes qui ont décidé de tronquer son intervention s’expliquent sur les raisons qui ont motivé ce choix. Je ne préjuge pas d’une partialité ou d’une mauvaise volonté de leur part, mais un peu d’éclaircissement mettrait un terme à la polémique. Philippe de Berlin
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