D’une époque ou on ne mangeait pas tous les jours non plus, mais on s’en foutait, on partageait nos « peu », se refilait une chambre, un lit, pour quelques jours ou quelques semaines, respirait l’air du temps moins pollué et plus insouciant, avec la vague presque certitude que le pire allait être évité, plus tard, avec seulement la bonne volonté de la majorité des êtres humains, les vrais...
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