Il semble qu’il existe maintenant un échelon supplémentaire dans le court-circuitage du pouvoir régalien (et avec sa bénédiction), j’ai nommé la présidente de la Commission Européenne elle-même.
- Signataire des contrats Pfizer, avec fourniture au parlement d’exemplaires largement caviardés, sans que celui-ci s’en émeuve outre-mesure.
- Accords « de principe » concernant le transfert des données personnelles vers les Etats-Unis, le précédent « DataShield » de 2016 ayant été rejeté par le parlement.
- Interdiction en Europe des chaînes RT et Spoutnik au motif de « lutter contre la propagande », dont on se demande bien où est la légitimité juridique de cette décision.
- Diverses interventions concernant les livraisons d’armes à l’Ukraine.
-Et j’en oublie
Ma question est : Existerait-il une telle dérive de l’exercice du pouvoir politique national, si elle n’était en quelque sorte légitimée par l’autocratie de la Commission et la mise à l’écart progressive des prérogatives du parlement ?
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