Tout le problème vient de là. Une fois que l’on a survécu, le leurre est de croire qu’il y a quelque chose à vivre. A peine nous voilà permis de détourner les yeux du danger, que l’on s’aperçoit aussitôt qu’il n’y a rien à voir. Le désert, la désolation, l’absence de tout mystère, l’écran télé.
Moi il suffit que j’aille me balader dans la nature, n’importe où ou elle a eu le temps de bien s’installer, pour être empli d’une présence que rien ne peut user .
C’est une affirmation de dépressif, de désenchanté .Il faut soigner votre ame
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération