En réponse à :
Etant môme à la campagne, nous avions deux veuves de guerre plutôt accortes et très libres , c’est vrai que ça picolait ferme aussi à cette époque des années 50 , mais ces braves dames recevaient volontiers les hommages de quelques coquins du village que ce soit chez la Mère Rigadin ( son surnom , il y a prescription maintenant ) et une autre Dame qui s’abandonnait dans sa grange pleine de foin ...
Et nous la bande de sales morveux, nous assistions aux débats avec toutes les figures de style, ainsi qu’une connaissance de l’anatomie féminine ...
Tout le monde était au courant ou presque , d’autant plus que les participants étaient des gens du cru de tout âge , souvent mariés et pères de famille, ou alors les voyous du coin...
Je n’ai pas eu de séquelles pour autant, marié et père de famille à mon tour et vie sentimentale et sexuelle tout à fait normale ...
Il faut dire qu’en ces années d’après guerre, il était d’usage d’aller au bordel étant encore adolescent , on allait aux Halles de Paris , c’était un passage obligé pour un jeune homme ...
D’autant plus qu’à l’armée, dans les villes de garnison, c’était la seule distraction durant les perms de spectacle, ou bien les dancings à soldats fréquentés pas les filles n’ayant pas froid aux yeux ni ailleurs !
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