Je relève une belle contradiction dans votre prose, déjà d’une....

Re-re-bonjour Ettore,

Je n’ai toujours pas eu de réponse de votre part, alors que votre bafouille accusatrice n’était absolument pas argumentée. Visiblement, vous ne savez pas quoi dire.

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Le premier point est certainement lié votre la compréhension globale du texte.

Puisque vous attribuez « bafouille » à votre façon de lire, plus qu’à ma façon d’écrire.

Parce que votre propre prose, vous ne la jugez qu’à l’aulne de votre action personnelle, et que son écriture,vous suffit en satisfécit exutoire.

On peut faire court et explicite. Contrairement à vous qui vous étalez, pour un simple collé copié.

Le deuxième  : Ma foi, si je ne sais quoi dire. Vous visiblement, vous ne savez comprendre, sorti de votre ligne de confort discursif.

Et comme toute personne, qui sent son incapacité commencer à surnager, vous vous repliez sur le phare de la supériorité, en menaçant de faire disparaitre les commentaires que VOUS, vous jugez hors ligne ( le summum de votre propre aveu d’incompréhension ) !.

Alors dites moi, qui devrait « disparaître » en premier ?

Celui qui se fend d’un article, qui n’est qu’un succédané, pompé, et pompeux, auto-attribué à ses propres affiliations sympathiques....

Ou, celui qui « essaye » de vous faire comprendre, que votre jeu de copie, est éventé.

Mais plus profondément, vous faites partie de la manipulation de « balance » truquée, que ce site à instauré ( trop visiblement) depuis quelques temps.

Une fonction de rééquilibrage à tout va, par un certain quantum de facilitation de parutions, plus par le poids du nombre, que par la fiabilité des informations.

Alors que vous le sachiez ou pas, vous faites partie de cette manipulation, de plus en plus flagrante, et qui ne dessert que des intérêts, qui ne sont pas ceux, d’un site d’expression libre et citoyen.

Voyez vous, ce n’est pas à des personnes comme moi, à qui vous devez vous en prendre, mais à d’autres qui laissent la porte ouverte, trop facilement, afin de laisser croire que vous l’avez enfoncée.