C’est bien que la nébuleuse « ensemble », incohérente et contradictoire (« cf « en même temps »), dont le seul point de ralliement est l’idée de « privatisation » et de démantèlement des services publics pour engraisser des « libéraux », soit déstabilisée.
Ce qui est inquiétant, c’est que, depuis plusieurs années, les manipulations électorales consistent à amener une partie déterminante des électeurs à voter « CONTRE » pour obtenir une « majorité » toute relative compte tenu du niveau d’abstentions.
Soyons honnête, c’est le même mécanisme qui a permis à Macron de s’imposer en étant minoritaire et à la NUPES d’obtenir son score.
Il ne faut rien espérer tant que les électeurs ne se prononceront pas POUR un projet cohérent d’organisation sociale, mais CONTRE un danger plus ou moins instrumentalisé ou CONTRE une mafia qui, à coups de lobbying et de manigances a réussi à s’emparer de nombreux postes clés et à contrôler le dispositif des hauts fonctionnaires détenteurs du réel pouvoir exécutif : les préfets, sortis de l’ENA comme leurs jumeaux qui les coiffent. L’actuelle première ministre en est l’illustration.
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