Le Grand Soir vient de publier un article sur les ramifications nazies dans le capitalisme allemand d’hier et d’aujourd’hui. On ne s’étonne plus, après ça, de la surprenante passivité des « élites » face au nazisme ukrainien.
On peut y lire :
« Jusqu’à ce jour, l’élite capitaliste allemande entretient des
liens étroits avec le nazisme. Par exemple, l’actuel parti
néofasciste l’AfD, Alternative pour l’Allemagne, co-fondé par
une ancienne économiste de Goldman Sachs, a reçu d’importantes
contributions à sa campagne électorale de la part d’August von
Finck Jr, un financier dont le père avait fondé le géant des
services financiers Allianz et une importante banque privée, Merck
Finck, et qui a largement profité du Troisième Reich.
Des réseaux
d’exfiltrations nazis, c’est-à-dire des réseaux qui
permettaient aux nazis bien connectés de s’échapper, ont été
mises en place par des anciens du Troisième Reich travaillant avec
la CIA et le MI6 britannique, afin que des témoins cruciaux des
atrocités disparaissent en Amérique du Sud, pour être récupérés
et utilisés dans les futurs projets de la guerre froide. »
Les élites économiques favorisèrent le nazisme, et en furent récompensées
.