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Jonas Jonas 13 novembre 2022 01:21

« Poutine est allé plus loin. Certes, l’idée communiste a été abolie et le Parti a perdu le pouvoir, mais il a préservé le système de gouvernance communiste dont les attributs les plus importants sont la verticalité et la non-alternance du pouvoir »

Je n’ai pas lu le livre sur Poutine, mais je ne comprends pas bien ce qui lui est reproché.
Que Poutine soit un ancien officier agent du KGB ? Oui, ce n’est pas un secret, et alors ?
Qu’il ait utilisé ses réseaux d’espionnage pour noyauter et assainir les institutions gouvernementales ? Bah oui, pardi, c’est bien pour ça qu’il a été nommé !

Après la chute de l’URSS en 1991, le pays a été livré au pillage des capitalistes étrangers, en particulier aux mains de la mafia juive, les Bill Browder, Edmond Safra, Beny Steinmetz et autres Robert Maxwell ont profité de la manne financière avec Hermitage Capital Management et les investissement des banques de New-York, pour se remplir les poches et construire d’immenses palaces, des villas aux USA et en Israël en démantelant les entreprises russes et revendre les produits manufacturés au marché noir (y compris les armes de guerre !).
Cette corruption a tellement mal tourné, que Boris Eltsine, sentant le danger, a fini par démissionner et limoger son propre gouvernement en choisissant comme président du gouvernement un officier haut placé de la sécurité du KGB pour tenter de sauver les meubles, un certain Vladimir Poutine.
Le type a fait le job, il a nettoyé et restauré le pays en ruine.

Où est le problème ?


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