A la lumière des derniers évènements...

On pourrait peut être commencer à se poser certaines questions de base !

Avant d’embarquer, ces « naufragés volontaires » ( ne venez pas me dire, qu’ils ont vraiment espoir de travers des milles nautiques sur une embarcation faite pour faire de la pêche côtière) doivent payer rubis sur l’ongle, des sommes énormes qui représentent des années d’économies en tout genre, et des pays d’où ils viennent, les quelques 3000 euros de droit de passage, font que vous pourriez y comme un nabab, pendant des années !

Soit ! Cet argent, qu’il soit collecté au sein de tout un groupe, ou familles, est une somme impossible à réunir sans passer par ce mode de collecte, et bien entendu, avec un retour sur investissement obligatoire !

Ce qui veut dire, qu’un « futur naufragé volontaire » est le garant financier de tout un groupe, qui a placé en lui, l’espoir de subsides voyageant via Western Union ou autre.

Cette filière de rentabilité, est donc bien organisée,,parce que visiblement, la plupart des « embarqués en flottaison » savent, qu’ils seront recueillis, et probablement, savent que les réseaux de prise en charge seront déjà prêts à leur offrir un job, dont ils avaient déjà pris contrat en main, avant d’embarquer !

(Expliquez moi comment ils ont pu avoir un téléphone portable, qui paye les communications, les abonnements ? Sur quel contrat de base cet outil de communication, voyage aussi ouvertement, avec des « gens à sauver de la misère de leur pays » . ?)

Quand vous arrivez dans un pays, vous ne disparaissez pas de la circulation, dès le premier pied posé sur la terre ferme ( Comme les jeunes lascars,débarqués tout frais moulus, à Toulon) Si vous le faites, c’est que votre job, est déjà prévu, et que vous avez un speed dating à un certain endroit, qui à été prévu par toute une organisation, qui opère sur divers plans :

Les racoleurs en communication des « besoins payés » qui opèrent dans certains pays, pour inciter les collectes de fonds, pour les volontaires. au crédit revolving...

Les passeurs, qui font leur job, contre vies et argent comptant, et qui se payent sur la bête.

Les armateurs ONG, qui sont de véritables taxis, travaillant dans la combine, sous pavillon humanitaire frauduleux !.

Les états, qui jouent les vierges effarouchées, et qui sont les premiers souteneurs de ce trafic si bien huilé. Pour des intérêts inavouables, et honteux pour leur pays...

Autre anomalie et pas des moindres...

Comment se fait il que ces « migrants » ne se retrouvent pas pris en charge par Pôle Jobs, alors que ce dernier à tellement de « professions en tension » ?

Alors, à part le trafic de rue, qui s’auto-alimente en exactions, et en violences de toutes sortes....A quoi, ils sont employés ??????????