En réponse à :
« l’heure n’est pas à plier à des exigences dogmatiques, mais à se fier aux réalités du terrain. »
La réalité du terrain est qu’une vaste étude étazunienne indépendante a démontré que le glyphosate n’était pas cancérigène. C’est une étude de cohorte monumentale avec 56000 agriculteurs suivis pendant 20 ans : il n’est pas apparu de cancers supplémentaires dans le groupe étudié par rapport au groupe témoin.
De plus, il est établi depuis longtemps que le glyphosate n’est pas toxique, sa dose létale médiane est de 5 grammes contre 3,3 grammes pour le sel chlorure de sodium : le glyphosate est donc légèrement moins toxique que le sel. Ce qui ne veut pas dire qu’on peut le boire car il est un peu irritant.
Il n’y a donc aucune raison objective pour interdire le glyphosate. Cela a été fait pour des raisons de politique politicienne comme Jospin a saboté les surgénérateurs pour grappiller quelques pourcent de voix.
La classe politique actuelle devrait être interdite !
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