Ni Huxley mort en 1962 à cause d’un cancer de la gorge avancé, ni Orwell, mort en 1950 suite à une hémorragie cérébrale, ne verront l’aboutissement de leurs œuvres écrites pour vérifier l’exactitude ou l’inexactitudes de leurs prédictions.
Ce n’est pas tout à fait vrai. Huxley a écrit une suite à son Meilleur des mondes (Retour au meilleur des mondes, 1958) dans laquelle il constate avec effarement qu’on y va tout droit et que c’est bien plus rapide que ce qu’il avait imaginé.
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