D’où vient ma mécréance ?
Deux générations avant la mienne, avec mon grand-père maternel qui revenait de la guerre et qui avait vu les religieux pousser les hommes à la guerre après une prière.
La religion pour ma mère c’était fini. Plus question d’en parler.
Elle avait 6 ans quand son père est mort.
Elle n’avait pas été baptisée.
Sa mère, plus traditionnelle, s’est ensuite poser la question.
Elle aussi s’est demandé qu’est-ce qu’elle allait faire avec sa fille ?
Pour faire la communion, il fallait passer par le baptême et elle l’a envoyé chez une religieuse.
Quand elle en est revenu, elle criait d’avoir été ensorcelée par des démons.
Calmé, elle est passée au baptême à 12 ans et était furieuse d’avoir eu les cheveux mouillés.
La « moulinette suivante » de la communion s’est passée, mais avec obligation, elle est restée à la religion .
Quant à moi, j’ai continué cet esprit de mécréance. Plus de famille...
Je viens d’écrire sur mon billet de fin d’année :
En 2023, je ne fêterai plus Noël. La nativité se passe tous les jours de l’année et la fête peut très bien exister tous les jours dans le hasard du temps. 1 950 bébés sont nés en moyenne par jour en janvier 2022 et cela a augmenté encore par après. Pour chaque Noël, j’ai écrit une billet à toutes les sauces à ce sujet jusqu’à celui de 2020 sur l’esprit de Noël dans lequel je rappelais tous les précédents. En 2022, il n’a plus rien distribué, car corrompu, il se trouvait au chaud au Qatar.
Pourquoi fêterais-je plus, la naissance du bébé d’il y a 2022 ans ?
Oracles, prédicateurs, prophète, messie... n’ont d’importance que pour ceux qui y croient au nom de Dieu(x) avec la peur d’aller en enfer en se mortifiant la vie.
Conclusion : Je suis perdu pour la croyance.
Le Nouvel an, oui, cela me plait, une fois par an.
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