Trés bonne analyse de ce qu’est le terrorisme. Un alibi et rien de plus.
C’est qui « une auteure » ? Ne devrait-on pas l’écrire « une hauteur » ? Ce petit détail montre que vous faites aussi parti du mal que vous dénoncez. Vous tordez le langage pour féminiser des noms communs génériques en français uniquement par peur d’affirmer votre être, par peur du regard que pourrait porter les autres sur vous. C’est malheureusement le grand courant de la culpabilisation des masses qui détruit tout sur son passage. Le faux respect d’autrui (car écrire une auteure ne marque pas le moindre respect à cet écrivain) n’est en fait que l’abandon de toutes nos valeurs, de l’ordre établi et de la structure sociale. Je pense que plus d’une fois vous avez du avoir honte d’être canadien, honte d’avoir votre assiette remplie à table.
Cette attitude explique aussi que l’on mette sur le même plan la puissance d’un gouvernement et la puissance d’une bande de voyous dans une prison. L’Etat a les moyens de faire valoir son droit dans les prisons, du jour au lendemain. Le problème vient de ce que plus personne ne veut se mettre en avant. Plus personne ne se lève pour dire - voici ma volonté, exécutez et point barre.
La culpabilisaton des masses poussée à outrance veut que l’on « comprenne » toujours l’autre et qu’on n’affirme jamais sa supériorité. Refusant d’utiliser les lois établies pour imposer sa propre supériorité on laisse évidemment le champs libre à ceux qui ne respectent pas la loi d’exprimer la leur. Comme vous dites, c’est l’ataxie institutionalisée.
Les guerres américaines dont vous parlez partent du même principe. Les démocrates qui les commencent ne veulent jamais aller jusqu’au bout, c’est à dire la capitulation sans condition de l’ennemi et la prise du pouvoir. Du coup ce ne sont que des opérations de gendarmerie où les soldats désabusés et débousollés se livrent à toutes les dérives imaginables dans un bourbier qui s’éternise.
Je ne crois pas du tout aux sociétés basées sur un consensus, encore moins lorsque les politiciens laissent envahir le pays par des populations étrangères qui ne se sentiront jamais liées par les us et coutumes de leur pays d’accueil, qu’ils soient votés par les députés ou simplement tacites. Ils viennent pour profiter et ils profiteront. Que font les milliers d’haïtiens au Canada ? Qui les a fait rentrer au nom d’une soi-disante égalité francophonique ?
Un retour aux principes s’impose. Il faut définir se qui est bon pour nous et le défendre sans s’occuper du reste.
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