121 « féminicides » en France. Pour 930 homicides en 2021.
Une femme tuée par son conjoint c’est toujours un meurtre de trop. Mais il faut être objectif : la criminalité, en particulier les homicides, et parmi eux les femmes assassinées, est un phénomène en baisse constante. Si l’on rapporte la situation en France aujourd’hui à celle du 18e siècle, celle-ci est incomparable.

Alors pourquoi agiter ainsi les féminicides comme s’il s’agissait du problème numéro 1, en faire une « grande cause nationale », alors qu’il existe tant d’autres causes de décès peu évoquées mais numériquement beaucoup plus préoccupantes ?
Pour servir de symbole à une victimisation des femmes ? Sans doute.
Pour canaliser des indignations réflexe et occuper les esprits en oubliant de parler d’autres réalités plus troubles ? Certainement.

Qu’on songe par exemple aux conséquences catastrophiques des *vaccins" Covid depuis 2 ans. A ces dizaines de milliers de morts subites, de crises cardiaques, d’AVC jamais évoqués par les médias et même niés malgré l’accumulation de statistiques alarmantes partout dans le monde. Une hécatombe qui concerne particulièrement les femmes (Mais aussi les jeunes) et que nos féministes omettent coupablement de dénoncer. Quid de ces jeunes femmes devenues stériles après leur injection ? Ou dont le cycle menstruel est durablement perturbés. Quid de ces multiplications de fausses couches, d’enfants mort-nés ou décédés peu après la naissance ? On pourrait aussi évoquer ces 10.000 vieux euthanasiés au Rivotril grâce aux décrets Véran pendant le confinement, Un génocide d’Etat qui malgré les procès engagés ne suscite pas une indignation massive dans l’opinion.

Indépendamment de la nécessité de protéger les femmes contre le harcèlement et la violence des hommes, il faut se méfier de ces causes montées en épingle et répétées de façon systématique pour saturer le débat.