Lire : le corps comme miroir du monde de Janine Chasseguet Smirgel. Le pervers rêve d’un corps bien lisse, sans aspérité. Uniforme, indifférencié. Comme dans la matrice de maman ou le réel n’interrompt pas la béatitude fusionnelle comme le fait une prise de coke. Le sentiment d’être tout-puissant, sans contrainte, ni passage à niveau. L’omnipotence : je suis parfait : sans poil (d’où l’intérêt pour les enfants dans la pédophilie). Rien qui rappelle l’obstacle : une voiture avec trois personnes dont une mère et un bébé avorté. un avorton dans le jus de la matrice. Etre Dieu. Zut dieu portait une barbe. La barbe....
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