Ça fait de plus en plus série B à petit budget mais grosses promesses, ce journalisme de guerre.
On a l’impression que les deux acteurs principaux se suffisent à eux-mêmes, à tel point qu’ils ont joué plusieurs personnages à différentes époques, avec costumes et décors différents…
Terminologie militaire d’adolescent boutonneux, contre-offensive, lance-roquettes, champ de bataille, systèmes antichars et de surveillance aérienne, 500 millions de dollars, guerriers, frappes de missiles, et autres vocables affûtés, on est à la limite du tac-tac-tac-pouët-pouët — et toujours aussi peu de réalisme brut, celui du sang, des cris et des larmes.
Non non, juste des « pertes », et invariablement beaucoup plus importantes chez l’ennemi, de façon à poursuivre ces parades, ces promesses et mises en scènes publiques autant que ridicules...
Je t’en foutrais, moi, des visites symboliques palpables ! Tournées en direct par The Walt Disney Company, les épisodes exhibent toujours les mêmes mickeys, ah mais non, là c’est le vieux Geppetto assis à côté de sa marionnette Pinocchio… !
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