Il s’agit d’une réalité globale qui rend mal compte de nos vies il me semble.
Je suppose que le travail de fond des scientifiques a consisté en un suivi de l’espérance de vie et de l’espérance de vie en bonne santé par PCS (profession et catégorie sociale) ou selon une autre catégorisation à voir si on s’intéresse sérieusement aux politiques de santé à mener.
Parmi les gros déficits des politiques de santé dans notre pays, la prévention dont la médecine au travail et à l’école, l’accès au soin pour le plus grand nombre et la baisse de qualité de la prestation fournie rapportée au taux de remboursement du secteur 1.
On pourrait parler aussi de bien des mutuelles qui sont devenues des systèmes d’assurance dont le poste salaires dans le budget est significativement supérieur à celui de la SS.
Je reviens aux statistiques. À partir d’un certain âge, on mesure en fait l’état de santé de ceux qui ont globalement bénéficié de bonnes conditions de vie et travail, les autres n’étant plus là. Tant mieux s’ils sont nombreux mais quand même.
Repère pour les curieux et ceux qui ont le temps :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Esp%C3%A9rance_de_vie_en_bonne_sant%C3%A9
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