En réponse à :
Pour moi, ça dépend de l’humeur du moment. Si je suis en forme et avec quelques secondes à perdre, j’ai plusieurs scénarios possibles.
1) Répondre (un peu n’importe quoi) dans une langue étrangère, mais pas l’anglais, beaucoup d’opérateurs pouvant le pratiquer aussi. Perso, il me reste encore suffisamment d’allemand pour décourager l’appelant qui, en général, met très vite fin à cette ‘’conversation’’.
2) Le vieux sourd : un peu facile mais imparable.
3) Le parano délirant : « oui, je savais que vous m’appelleriez. Je sais qui vous êtes et qui vous envoie, le Diable, pour me tourmenter… Je vois clair dans votre jeu… » etc, etc. Bon, après, la dernière fois que j’ai fait ça, l’opérateur (africain) a été si choqué qu’il s’est senti obligé de me rappeler le lendemain pour se justifier...
Quand je ne suis pas d’humeur joueuse, c’est comme vous. Un numéro inconnu, je ne décroche pas. Sur le fixe, à l’appartement, des sonneries et des couleurs d’écran différentes suivant un classement préétabli : famille, amis, fournisseurs réguliers, etc. L’emm… à éviter a droit à une sonnerie désagréable et la couleur rouge. Efficace, même pas besoin de se déplacer.
Sur le fond, je suis bien conscient qu’ils font un métier de chien dans une ambiance de m…, avec l’obligation de tenir l’appelé un minimum de temps, sinon l’appel ne leur sera pas comptabilisé, mais je n’y peux rien et je n’ai rien demandé.
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