Il faut lire « L’Île aux oiseaux de fer » de André Dhôtel (*), publié pour la première foi en 1956.
Une dystopie visionnaire et romancée est belle parabole qui évoque ce que pourrait devenir une société humaine dirigée par des IA, autreent dit des intelligence virtuelles :
« julien, jeté à l’eau au large d’une île ignorée de tous, y arrive à la nage. Dans cette île, tout est propre et net. Les escaliers sont en marbre, les corridors vastes, et les voitures se conduisent toutes seules. Des robots servent des hommes et des femmes sans âge. Ici, ânonnent les habitants, ’’ nous supprimons dès leur naissance tous les sentiments inutiles (...) rien n’existe pour nous, que la pureté des jours. Pas d’amour. L’homme, la femme, le temps, le ciel nous suffisent. ’’
« Seule Irène est sensible au charme de Julien. Mais Julien est retenu dans cette prison dorée où les machinent commandent et questionnent. Comment parviendra-t-il à échapper à la surveillance omniprésente des machines ? »
(*) né en 1900,Grand prix de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre plus de 50 romans essais et recueils de poèmes.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération