Dire que les médias sont responsables de la montée de la délinquance directe (coups de poing, coup de couteau) avec comme effet dopant le fait que les systèmes de sécurité soient plus performant aujourd’hui relève de l’amalgame quelque peu pervers. Il y a en effet d’un côté la violence crapuleuse et de l’autre la violence expressive liée à un mal être profond et pathologique de l’agresseur, or vous mélangez les deux.
Les films violent n’inciteront à la violence que ceux qui seraient de toutes manières passés à l’acte un jour ou l’autre, des malades qui n’ont pour s’exprimer et donner la réplique que ce « mode de communication », pour les autres potentiellement violent, je pense qu’au contraire il peuvent avoir un effet calmant par une identification aux personnages d’un film, une violence par procuration en somme.
C’est un peu comme si vous disiez que les films pornos incitent au viol, là encore je pense qu’au contraire ils jouent davantage un rôle désamorçant qu’incitatif pour la très grande majorité des amateurs du genre qui savent faire la part des choses.
Alors, en dehors des problèmes d’éducation qui sont une réalité mais qu’il faut relativiser néanmoins, arrêtons de rejetter la responsabilité de certains faits de violence sur les films et les médias, qui n’en sont que le reflet et non la cause.
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