"Nicolas Sarkozy a été « un homme qui a donné l’essentiel de son existence au service de l’État, au service des autres, avec une très grande générosité et beaucoup de rigueur ».« 

Comme ses deux successeurs : ils ont tous tellement bien »servi l’état« qu’hors Bercy, il ne reste aucun service public encore digne de ce nom (enseignement, police, santé publique, ...) Quant à leur »générosité« à vendre à l’encan les bijoux de famille ainsi que les plus beaux fleurons industriels et technologiques de la République, ou encore financer  »quoiqu’il en coûte«  au contribuable un confinement sanitaire destiné à démanteler une large frange du tissu des petites et moyennes entreprises locales au bénéfice des géants du net et du CAC40, elle réussi en un peu plus de 15 ans l’exploit de réduire l’économie française à charpie et approcher les 3 milliards de dette publique, la République des droits de l’Homme et du Citoyen à vulgaire start-up livrée par quelques pâles managers à l’avidité sans borne de l’aristocratie mondialiste, et hors les »premiers de cordées« , appauvrir massivement Françaises et Français élevés au rang de  »gens qui ne sont rien« .

Si même —  »Selon que vous serez puissant ou misérable«  —, il faut raison garder et si les peines pour concussion avérée de nos plus hauts représentants publics s’avèrent infiniment plus clémentes que celles affectant le commun des citoyens pour leurs diverses infractions, il est toujours agréable de s’aviser qu’ils se voient renvoyés, ne serait ce que très symboliquement, à leur responsabilité pénale.

Et en regard tant de la ruine de la République et de ses institutions que de l’importance des malversations, insultes, brutalités, sévices, mutilations et autres maltraitances successivement subies par diverses catégories de nos concitoyens successivement réduites à rien par notre très immature et narcissique giton de Rothschild et mignon de Jean-Migitte, on espère que tant lui que ses complices — et, on peut toujours rêver, quelques uns de ses puissants commanditaires — auront quelque jour à en répondre devant quelque tribunal citoyen, juste histoire d’au moins passer à ses successeurs le goût d’exprimer l’irrépressible  »envie d’emmerder«  une part de leurs concitoyens.

 »Emmanuel Macron (une haine au moins aussi excessive qu’en 2012)« .

Qui sème ouvertement le mépris — et s’y complaît - ne peut que finir par récolter la haine ! Rien d’excessif là-dedans !

A noter que, qu’on l’ait apprécié ou pas, Chichi a bien été le dernier à assumer avec un minimum de classe la fonction présidentielle. Et que pour »assumer la responsabilité« des inévitables aléas financiers associés à la marche du pouvoir, il semble s’être montré infiniment plus malin que son narcissique successeur, un peu trop imbu de lui même pour faire preuve d’un minimum de prudence. J’imagine que c’est aussi ce qui fera finalement tomber notre petit Monarc, même si c’est un enfumeur nettement plus roué (au point d’avoir réussi à »rempiler") que la girouette de Neuilly.