On ne prête qu’aux riches, dit-on. On prête beaucoup à Mélenchon et pas que du bien comme le font la plupart des journalistes. Faut dire qu’il ne les ménage pas non plus et qu’il a la redoutable manie de recadrer leurs questions les renvoyant à leur déontologie et professionnalisme. Ceci explique cela entre autres.
Allons (à chaque fois que l’on peut) à la source et faisons-nous notre propre idée sur pièce en écoutant l’impétrant comme dit l’autre. Je note qu’il a le courage de prendre les problèmes à bras-le-corps quand tant d’autres pratiquent comme à l’accoutumée la langue de bois attendue et guettent une ouverture. A chacun ses méthodes.
Après comme on dit, la caravane passe
et ici de façon routinière, une poignée de commentateurs pratiquent l’art de la
formule expéditive ou du croche-pied, mauvais imitateurs en cela de certains journalistes qu’ils critiquent par ailleurs
pendant que les lecteurs prennent le temps de réfléchir posément ce qui est le principal intérêt pour la plupart des rédacteurs.
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