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charly10 17 juillet 2023 14:37

Nous sommes quelques-uns sur ce blog à exprimer notre scepticisme depuis plusieurs années quant au rôle du CO2 anthropique sur évalué plus ou moins volontairement. 

Pour qui veut bien sortir des alarmes médiatiques, dans la littérature scientifique, on trouve tout et son contraire, jusqu’à des affirmations telles celles Georges Geuskens «  Le CO2 ne peut contribuer en aucune manière à un réchauffement ni de la surface terrestre ni des basses couches atmosphériques.

La théorie du réchauffement climatique d’origine anthropique basée sur l’existence d’un effet de serre n’a aucune justification ni théorique ni expérimentale ».

https://www.science-climat-energie.be/2019/02/14/le-rechauffement-climatique-dorigine-anthropique/

L’argument utilisé par la doxa est la relation augmentation CO2 depuis l’industrialisation et température. Il est donc tentant d’utiliser les données des archives pédoclimatiques pour tester le lien entre variations des températures et variations du CO2 sur des exemples réels.

 Dès les années 1980, les carottes prélevées dans les glaces de l’Antarctique a VOSTOK ont permis de mettre en évidence la corrélation très étroite, qui a prévalu par le passé, entre la concentration en CO2 et la température en Antarctique. Cette observation semble ainsi confirmer la théorie de l’effet de serre.

Cependant il faut rester prudent et précis : cette corrélation entre CO2 et température ne signifie pas que le CO2 est la cause des variations de température. On sait qu’une part majeure de ces fluctuations est liée à des processus astronomiques. Et la température peut également être la cause des variations de CO2 via les échanges de CO2 entre l’atmosphère, l’océan et la végétation. Dans ces conditions, il n’est pas anormal que les changements de température aient pu précéder ceux du CO2, à certains moments dans le passé, et ce n’est en aucun cas un argument à l’encontre du rôle de l’augmentation du CO2 dans le réchauffement actuel de la planète.

On a tout simplement fait par modélisation des corrélations, augmentation températures par le levier effet de serre et taux CO2 ; ce n’est pas une démonstration, aucune causalité n’a été recherchée.

Le CO2 atmosphérique est conséquence des températures passées, et ne saurait être la cause des températures (Camille Veyres et JM Morane la physique du climat). https://laphysiqueduclimat.fr/

On exclut toutes les recherches sur l’incidence solaire au prétexte que c’est très difficilement mesurable et surtout il faudrait des crédits qu’aujourd’hui aucun gouvernement n’est prêt à fournir si la thèse n’est pas dans la doxa.

On ne sait pas, ou encore très peu ce qui se passe dans le fonds des océans ; dernièrement des géologues canadiens ont découvert des sources chaudes sous la calotte arctique. Cette découverte n’est pas mise en avant mais il est inévitable que ces sources chaudes ont une influence certaine sur la fonte des glaces arctiques. Certainement plus importantes que l’action du CO2 anthropique

https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/oceanographie-source-hydrothermale-plein-ocean-arctique-16272/

 Jusqu’ici on ne prenait pas en compte suffisamment les variations du climat engendrée par les épisodes el niño dans le pacifique. Aujourd’hui les météorologues pragmatiques commencent à en parler. On connait le principe EL niño, mais encore très mal ses interactions climatiques. On observe simplement depuis quelques années, que chaque épisode entraine des températures plus élevées dans certaines parties du globe.

 «  La rigueur scientifique des analyses diffusées par le GIEC, a été sacrifiée et il va inévitablement en découler des décisions politiques inadaptées. Il y a une part imprévisible dans le climat que la science ne pourra jamais appréhender. » Dixit Roger Pielke senior, en 2005 une des référence en climatologie.

Comment croire que les prédictions issues de modèles mathématiques soient correctes, alors que les mécanismes essentiels des échanges et des rétroactions positives et négatives sont encore très mal compris et font toujours l’objet d’âpres discussions entre les chimistes, les physiciens, les climatologues, les géophysiciens.

Les présuppositions sur le rôle essentiel du CO2 anthropique dans le réchauffement climatique sont passées de l’hypothèse, au postulat. Elles sont devenues des vérités par la grâce « performative » des spécialistes du GIEC. 

Une mécanique implacable s’est mise en marche : l’origine anthropique du réchauffement acceptée comme une vérité scientifique, les décideurs politiques sommés de prendre dans l’urgence des mesures drastiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, une opinion manipulée, résignée à la catastrophe inéluctable.

Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : les épisodes de canicule, inondation inédite, tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans plus puissants que jamais, et même des truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus !

vivrions-nous les débuts de l’apocalypse ! Tout est pain béni pour servir ce dogme. 

 


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