En réponse à :
@ l’auteur
.
Attention ! Par ces temps de basculement les MàJ doivent également s’accélérer, la France n’est plus le premier partenaire commercial de l’Algérie, elle est devancée par l’Italie en tant que cliente et par la Chine en qualité de fournisseur.
Par ailleurs, l’époque des enveloppes sous table pour s’accaparer exclusivement au prix fort un marché est révolue, les vendus sont sous les verrous pour des années, les fruits de leur corruption saisis même à l’étranger et, la chasse aux corrompus continuant de plus belle, ceux lorgnant leurs places encore chaudes ne se bousculent plus au portillon.
Ainsi et entre autres marchés, celui du blé est enfin soumis à une forte concurrence bien plus bénéfique pour les finances algériennes, que ne le permettaient les méthodes corruptrices et à courte vue de la françafric qui, par pur néocolonialisme, n’a fait que scier la branche la portant, en Algérie comme ailleurs en Afrique.
La ploutocratie française devra se faire une raison, avec l’Algérie dorénavant ce sera gagnant-gagnant ou rien du tout. . .
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