Le 26 mars 1933 Freud écrit à Marie Bonaparte (E. Jones, 1969) :
« J’ai entrepris de lire le livre de Céline et en suis à la moitié. Je n’ai pas de goût pour cette peinture de la misère, pour la description de l’absurdité et du vide de notre vie actuelle, qui ne s’appuierait pas sur un arrière-plan artistique ou philosophique. Je demande autre chose à l’art que du réalisme. Je le lis parce que vous désiriez que je le fasse. » (tr. fr., 1969, p. 201-202).
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