« On retrouve là ce qui constitue le socle même des confréries médiévales et de leurs héritières jusqu’aujourd’hui : appartenir à une confrérie, c’est s’assurer que cette famille de substitution accompagnera le frère défunt jusqu’à sa dernière demeure et que sa dépouille ne sera pas abandonnée aux bêtes sauvages, faute, dans le doute quant à sa religion, de pouvoir l’enterrer dignement en terre chrétienne.
13Le lavement des pieds auquel l’arrivant avait droit dans plusieurs sociétés montre bien lui aussi la dimension résolument chrétienne des compagnonnages primitifs. D’autres usages mériteraient d’être examinés et leur origine serait probablement retrouvée parmi ceux des confréries. »
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