il a été fait mention d’une rupture de barrage dans les infos et sur google earth il y a effectivement au sud de la ville de Derna, deux
ouvrages type barrage-poids, le plus en amont faisant a vue d’œil le
double du second en taille, donc potentiellement en volume d’eau.
L’un et l’autre bâtis sur un cours d’eau intermittent appelé riou dans le midi et nommé
Darnah, qu’il faut considérer comme fleuve vu qu’il se jette
directement en mer, même si, comme la plupart des oueds d’Afrique du
nord, il est pratiquement a sec une bonne partie de l’année.
En tous cas sur les archives des clichés satellitaires observés jusqu’en
2014, les barrages en question ne sont jamais en charge, mais ils sont
néanmoins équipés des obligatoires déversoirs pour évacuer leur trop
plein si nécessaire.
Faut il qu’il soit tombé un incroyable déluge, quasiment un ciel liquide sur la tête des gens de cette région aride, pour saturer ladite évacuation du plus grand, le déborder, probablement l’éroder d’un sillon fissurant à son sommet et entrainer quasiment son éclatement sous la surcharge et extraordinaire poussée des eaux, la vague frontale ainsi produite balayant violemment le second en aval, d’où le bruit d’explosion entendu par les survivants, juste avant la brusque furie des eaux ruinant la ville construite à son embouchure et, surtout, la vie de ses malheureux habitants, dont les occidentaux et leurs nazi$lamistes avaient déjà pourri la vie, en détruisant leur pays et en assassinat ignoblement leur leader historique. . .
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