C’était jusqu’ici une situation paradoxale de fournir des armes tout en restreignant leur utilisation. Par prudence, assurément, mais quasi impossible à mettre en application. Ayons conscience, nous autres occidentaux, que dès lors qu’on livre des armes, elles seront tôt ou tard utilisées là où on n’avait pas prévu qu’elles soient.
Alors les Yankees sont passé du ’’ne pas souhaiter que’’ au ’’ne pas s’opposer à’’, il n’y avait pas d’interdiction absolue, il n’y a pas d’autorisation explicite, un demi-pas.
Le diagnostic de la situation étant que les forces ukrainiennes ne seront pas en mesure de récupérer par les armes une portion majeure des territoires occupés, la stratégie est désormais la pression par des opérations d’intimidation, sur la Crimée surtout, sur la Russie aussi (non, pas Félicie).
On peut donc ’’lire’’ l’évolution de position étasunienne dans la perspective d’améliorer la position ukrainienne pour des négociations, qui de toutes façon se produiront en final.
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