En 2002 quand Sarko nous a imposé de nous fondre dans l’union Européenne, j’avais naïvement cru que les peuples seraient mis en avant avec l’apprentissage d’une langue commune pour l’union, en gardant sa langue pour son pays.
En une, voire deux générations, tous les gamins auraient été capable de converser sur toute la zone.
Mais cette union n’a cure du peuple, ce genre de détail n’a même pas dû effleurer ses messieurs dames autoproclamés, que le pognon qui compte.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération