Comme vous le soulignez, en politique comme en histoire, les certitudes et cohérences ne viennent qu’après l’évènement - surtout lorsqu’il s’agit d’un évènement fondateur, telle une révolution. Aujourd’hui, il y a des mots, des symboles, des couleurs, des rêves... Mais plus que le théâtre de l’exceptionnel, qui peut dire que le cycle dans lequel nous sommes engagés trouvera cohérence par lui-même, sans discontinuité ni rupture ? Je suis emprunt, comme vous et Pierre Rosanvallon dans « La République du Centre », d’un septicisme de bon aloi. Même si j’ai parfois envie de rêver. Encore merci pour cette lecture. Fabian GIORDANO
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