Quand j’ai entendu la nouvelle, je croyais à un canular.
Lisez Spartacus ou les romans de Mika Waltari. Même traduits, les livres de M Gallo ne leur arrivent pas à la cheville : Sinouhé, l’Etrusque, L’escholier de Dieu.
Le style de M Gallo est lourd, emprunté. Les dialogues sont inutiles. Le texte est affligeant de banalité et écrit au kilomètre. La grammaire pauvre.
J’ai compris finalement : il suffit de regarder le parcours politique. Et en se plaçant bien, finalement on entre à l’Académie maintenant.
Que de vrais écrivains qui n’arrivent pas à percer dans l’édition alors que des situations bien en place leur barrent le chemin.
Et encore, je ne parle pas des livres politiques qui polluent les rayons par dizaines.
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