J’ai lu les commentaires avant l’article, inutile de dire que j’étais déjà remontée avant de me plonger dans sa lecture. Or, j’ai été surprise de voir que l’article n’est pas le ramassis woke évoqué (à part la phrase malheureuse phrase soulignée à juste titre par le lampion), mais évoque un réel problème.
Le fait est que les violences sexuelles, d’où qu’elles viennent, gênent, dérangent. Au commissariat, on doute. Au tribunal, on minimise ou on renverse les torts. Dans les media, on juge et on tranche (du mauvais côté souvent). Dans la société, on se déchaîne.
La France est très en retard sur ce sujet, comme sur d’autres, la maltraitance sur les enfants par exemple, qui vont souvent ensemble. On préfère regarder ailleurs, au loin, ou décrédibiliser, comme le dit l’auteur, Pour être équitable, j’ajoute que les femmes qui accusent à tort et à travers ne rendent absolument pas service à la cause et j’ai chaque fois envie de leur crever les yeux pour leur apprendre, mais je pense sincèrement qu’elles sont une toute petite minorité.
Au RU comme dans de nombreux autres pays, il y a un pôle dédié et suffisamment approvisionné qui accompagne les victimes de violences sexuelles de A à Z. Ce serait un bon début, permettrait de regarder le problème en face et peut-être de calmer le jeu, un peu...
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