En réponse à :
Je suis intimement persuadé qu’on ne peut pas empêcher les progrès de la connaissance et que l’on saura indéfiniment de plus en plus de tout ce qui peut être connu. S’y opposer, c’est vouloir stopper la marée montant de ses bras tendus
La vraie question, ici, n’est donc pas de s’indigner que Google poursuive dans cette ligne de recherche, mais de se demander si l’État doit le faire avant le secteur privé, au nom du bien commun et des balises que l’on devrait - peut-être - poser à la diffusion de ces connaissance. C’est un élément d’une redéfinition à faire du rôle de l’État dans une économie tertiaire. Ce n’est pas une question facile. Il vaudrait mieux y penser que de flirter avec la paranoïa.
http://www.nouvellesociete.org/713D.html
Pierre JC Allard
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