Bonjour, je me permets juste un début de ré-flexion et en premier lieu de re-venir sur l’utopie. Utopie du grec ou –topos, « nulle part », « en aucun lieu ». L’utopie représente souvent une critique morale de la politique, mais faut-il encore savoir aujourd’hui de quelle politique dialogue-t-on. Du grec, politikos, « de la cité », ceci ne nous conduirait pas vers la « cité des sciences ». Pour Platon, la politique suppose un savoir théorique et même philosophique. Ce n’est pas pour autant une science pure, mais un savoir tourné vers l’action. L’homme d’espoir ne prend pas davantage son désir pour une « réalité, que la petite fille ne prend la poupée qu’elle berce pour son enfant véritable. Et dans ce cadre de pensée ou si vous préférez « paradigme », nous retrouverons un principe cher à la pensée de Joël de Rosnay : le principe d’incertitude d’Heinsenberg « la réalité dont nous pouvons parler n’est jamais une réalité « a priori », ou dans ce contexte dirions nous une « utopie », le résultat escompté par le chercheur induit sur le résultat de l’expérience présumé.
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