Cela explique tout simplement, que la « formation » de ces agents, n’est absolument pas complète, et que, entre eux et le GIGN, il y a un fossé, qui est franchi allègrement, par pas mal de malfrats, qui eux, ont un entrainement plus
« endurant ».
La problématique est la suivante :
Abattre quelqu’un, n’est pas à la portée de tous (légalement, techniquement et psychologiquement ) et il semblerait, que les trois paramètres, soient des bloquants à l’action immédiate, et poserait question pour la suite des responsabilités.
Le seul à ne pas se poser de questions, sur la responsabilité finale, est bien la personne qui commet le délit !
En face, trop des questions, trop d’impraticabilités, trop de règles ( qui si elles sont enfreintes, ou, même si elles ne le sont pas )déclenchent une volée de bois vert, et très peu de médailles, parce que, les fluctuations de la société, ne sont jamais coordonnées dans le temps, le même temps, que celui de l’évènement !
Et l’évènement, c’est le malfrat, qui décide, ou et quand, avant que tous les autres intervenants, y rajoutent des questions de développement, civilisationnel, médical, passionnel ou haineux !
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