Ce qui suit, vient éclairer la nature de notre soutien à Julian Assange :
- Notre instinct
- Notre émotion
- Notre capacité de raisonnement
D’instinct nous sentons que le procès qui est fait à Assange est d’une nature politique ; qu’il y a « anguille sous roche ».
Les conditions d’existence de Julian et le sort qui l’attend s’il est extradé, appellent la compassion.
A chaque fois que nous sommes confrontés aux médias de nos dix milliardaires ( à leurs choix éditoriaux - radio, télé, internet, papier), nous réalisons à quel point le travail de Wikileaks et d’un journalisme de révélation et d’investigation du réel est d’une nécessité absolue.
D’autant plus que nous sommes attachés à cette information qui prend à bras le corps le questionnement suivant : qui fait quoi, à qui, pour-quoi, où, comment et pour le compte de qui ?
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Aucun Etat ne peut secourir Julian Assange qui soit un allié du pays mis en difficulté par la révélation de ce que ce pays souhaitait cacher ; la France, l’Allemagne, l’Italie n’ont pas plus intérêt que les USA à ce que soit révélé ce que ces Etats souhaitent dissimuler à leur population aujourd’hui et demain. D’autant plus que l’on ne met pas en difficulté un allié sans risquer des représailles dommageables. Plus fort est cet allié, plus dure sera la sanction.
Seules les institutions internationales soucieuses des droits de la personne sont susceptibles de pouvoir peser. Mais là encore, à quel prix, avec quel poids et avec quel niveau d’indépendance ?
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