« Appliquer les « lois du marché » à l’éducation et la culture, à la santé, au logement, ces trois piliers de l’existence sociale et familiale, revient à admettre que les hommes sont de pures et simples machines à mettre devant un écran pour s’abrutir, à leur changer une pièce de temps en temps jusqu’à un certain âge et à les parquer dans des clapiers vendus à crédit (on ne redira jamais assez la formidable pression sociale normalisatrice de l’endettement). »
Si les individu ne sont pas confronté au marché, comment peuvent ils rendre le service dont la société à le plus besoin ? Donc il faut le marché, qui récompense et sanctionne justement.
Par ailleur, si la pensée est à l’efficacité, pour les fonctionnaire et l’Etat, ce n’est encore que de la pensée !
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