Merci Alinéa !
L’axe de la spiritualité est très important à considérer.
Mais son dévoiement par les religions est terrible.
Des paléontologues ont découvert des traces d’égalité nutritionnelle parmi des os féminins et masculins, avant une certaine époque déjà très ancienne.
(Je ne retrouve pas les sources dans mon bazar de fichiers. Merci à ceux qui peuvent les retrouver).
Cela peut déjà faire réfléchir.
La domination patriarcale sur les féminines n’est en rien une nécessité de l’évolution des sociétés.
Poser la question : quels en sont les bénéficiaires ? … indique les coupables.
Une seule réponse semble évidente : ce sont les castes dominantes.
Dont on a besoin de comprendre l’apparition et les instruments.
Un instrument lancinant : le mythe de la vie éternelle, une arnaque malicieuse des zélites.
Le mythe d’Osiris veut que ce « dieu » issu d’une vierge a été tué et fut ressuscité, grâce à l’aide de sa sœur Isis.
Cela ne vous rappelle rien ?
2400 ans avant notre ère, le mythe d’une vie éternelle, calquée ici sur celle du renouveau annuel des cultures végétales, est instauré par le pharaon et ses sbires comme fondement du contrôle social.
Ce mythe a été diffusé d’un seul coup, au 25è siècle avant notre ère, signe évident d’une propagande du système royal du moment.
Champollion, décryptant ce mythe égyptien, bien antérieur à l’apparition du système social de la chrétienté, fut horrifié du danger d’en parler à qui que ce soit, et se garda d’en faire une publication de nature à lui faire subir les foudres de tous les pouvoirs en place : royauté, église, et bourgeoisie.
Quelques siècles plus tôt, c’était la torture et le bûcher.
Le croyant ne manquera pas de réfuter cette évidence, avec les arguments spécieux développés sans aucun fondement dans toutes les théologies.
Si on est sain d’esprit, on comprend que la répétition de ce mythe d’une vie éternelle démontre la propagande du pouvoir des castes dominantes sur la masse des castes inférieures.
La base de ce pouvoir est d’imposer que les inégalités sont normales, doivent être acceptées comme inévitables, et découlent d’une prétendue culpabilité de ceux qui en souffrent.
On le retrouve dans toutes les religions, y compris certains animismes, parfois travesti dans la propagande de la réincarnation répétitive, qui prendrait fin avec celle du karma, carotte proposée aux ânes défavorisés des castes inférieures.
Si on est sain d’esprit, on comprend que la répétition de ce mythe d’une vie éternelle démontre la propagande du pouvoir des castes dominantes sur la masse des castes inférieures.
La base de ce pouvoir est d’imposer que les inégalités sont normales, doivent être acceptées comme inévitables, et découlent d’une prétendue culpabilité de ceux qui en souffrent.
On croirait entendre les merdiacrates baver sur
les gueux,
les banlieues,
les quartiers,
les « envahisseurs », de couleur, non krétiens,
les gilets jaunes « substituables »,
les syndicats « hostiles au business », et
les grévistes, irresponsables qui ne devraient même plus être autorisés à manifester
en déplorant que le confinement, qui a si bien contenu les révoltes, ne soit plus aussi facile à imposer.
Avec le sourire méprisant des partisans du renard libre dans les poulaillers libres.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération