’’On peut tout perdre, la souveraineté, la monnaie, la maîtrise des frontières voire une partie du territoire (Serbie), restera la langue que personne ne peut nous prendre. Sauf le charabia, la novlangue, la langue de bois et toute forme de dégradation de la langue qui accompagne souvent des changements politiques importants et inquiétants. Halte au charabois !’’
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Pervertir c’est perdre. Une langue pervertie n’est plus une langue vivante, c’est une langue moribonde.
« La langue de bois était celle de la rigueur idéologique ; la langue de coton est celle des temps nouveaux. Elle a le triple mérite de penser pour vous, de paralyser toute contradiction et de garantir un pouvoir insoupçonné sur le lecteur ou l’auditeur. Ses mots sont séduisants, obscurs ou répétitifs. Floue ou redondante, banale ou ésotérique, elle a réponse à tout parce qu’elle n’énonce presque rien. Ou trop, ce qui revient au même. »
Ps. J’ai failli arrêter ma lecture au chapeau. J’aurais dû. Mis à part les poncifs énoncés, je n’ai rien compris à l’article.
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