« Plus l’homo numéricus se laissera envahir d’écrans, plus il suffoquera sous les déchets miniers, dans l’eau et l’air contaminés, pour se laisser dissoudre, en agrégat de données calculables et prédictibles, dans le Rien cybernétique. »
On peut se demander si nos sociétés sont à la hauteur pour légiférer dans ces domaines-ci, sachant que l’intérêt économique à court terme est souvent prévilégié sur l’intérêt humain à la long terme.