Notre « laboureur » de terres jaunes, aussi !
Mais lui, il, préfère le Brésil, pour manifester son ni chaud— ni froid, au rythme des pas de samba, et surtout, surtout, des plumes colorées, que nos agriCULteurs, s’empresseraient de déplumer, si d’aventure il osait se présenter devant eux.
Quand à la nouvelle « sinistre » de l’agriculture, elle semble être à la paysannerie, ce que le roi Louis Philippe, était aux éboueurs.
Cette dame ne connait le maïs que par les boites Bonduelle, et le blé, par la baguette que son personnel, vas lui chercher toute chaude, chez le médaillé Elyséen. Un petit coup de fixateur de brushing à base de purin, bien fermenté, rien de mieux pour assouplir le cuir chevelu, bien plus que la posture surannée d’un gargarisme de « dureté » vocale, mal prononcé, tant le retour, des plus « odoriférant », est à craindre ..