@ l’auteur
Sans faire l’apologie des déviances sexuelles, si, en lieu et place de la castration chimique, le moyen retenu était tout autre : lobotomie et électrochocs pour neutraliser dans l’individu ses pulsions sexuelles contraires aux bonnes moeurs de la société, le débat serait-il le même ? Accepterions-nous qu’un individu, en infraction sexuelle quelle qu’elle soit, viol, torture, et autres bas instincts, se soumette en vertu de la loi à des traitements comme : la lobotomie et les électrochocs pour parvenir aux mêmes résultats ?
Est-ce l’instrumentalisation qui est odieuse ou le crime ?
Pierre R.
Montréal (Québec)
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