• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


ouro 17 juin 2007 22:33

@ rod : exactement.

La castration chimique n’est qu’emplâtre sur jambe de bois. En supprimant la capacité physique de l’individu à avoir une érection, le désir n’en est pas aboli pour autant ... le chef d’orchestre n’est pas l’appareil génital, mais bien le cerveau. Les eunuques par exemple, contrairement à ce qu’on pourrait penser, pouvaient avoir des relations sexuelles (dans le cas où la castration avait eue lieu après la puberté). Ce désir, s’il ne peut s’exprimer par la voie habituelle, trouvera d’autres moyens, pervers ou délirants ... et comme dit rod il suffit d’imaginer après...

Ces traitements sont à la base utilisés pour traiter des cancers hormonaux-dépendant (ex : prostate), et sont de surcroît onéreux.

Beaucoup de pervers sexuels traités en hôpital psychiatrique sont maintenus en hospitalisation sous contrainte parce que l’expérience à montré clairement que ces traitements n’empêchaient aucunement les passages à l’acte.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès