Je suis fumeur.
Mais je pense qu’il est temps de considérer le tabagisme comme une maladie. Et pourtant je fume 1 paquet par jour. Mais je ne peux m’empêcher de penser que par le biais du tabac on a donné de « l’opium au peuple ». Toutes les substances qui s’y trouvent sont savamment préparées par des laboratoires qui n’ont rien à envier aux plus grands.
Et pourtant à l’heure où je vous dis cela, je finis une petite dernière. Vous savez la petite dernière qui n’est pas assez souvent la seule. Celle qui vient des dépendances que créent ces substances dans notre organisme et qui n’ont rien de naturel. On ne parle pas assez souvent de l’absence de naturel dans le fait de fumer.
Un geste auquel on s’habitue qui devient en lui-même comme un toc. Une odeur dont personne ne peut nier qu’elle est forte. Des statistiques qui parlent d’elles-mêmes des voix qui se sont tues.
Je pense aussi à tous ces fumeurs, peut-être comme moi auprès desquels, enfant, on a fumé, désinformés, dans les années 60 et 70 voir même 80. Encore une fois on nous cachait tout. Au mépris de l’homme. De sa santé.
Créer un produit pour en rendre dépendant et qui tue ceux qui le consomment est un crime contre l’humanité.
Il suffit de voir que nous consommateurs nous fumons auprès de nos enfants. Indifférents.
J’ai un répit, je viens d’écrire sur le tabac. C’est promis c’est la dernière. C’est toujours la dernière.
A tous, cordialement.
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