Vos découvrez la lune, à savoir que la majorité des français qui ont voté pour NS savaient ce qu’il en était de son projet. Il n’ y a aucune surprise sauf pour ceux qui pensent qu’un vote démocratique est éternel, alors même que le principe de la démocratie implique qu’un nouveau vote peut très bien annuler un plus ancien (seules les décisions divines sont éternelles et encore..).
Que le second vote, en l’occurrence, soit indirect ne signifie qu’une chose : les électeurs, y compris nombre de ceux qui avaient voté non, ont voulu corrigé sans drame l’erreur commise en avril 2005.
Qui peut dite que le premier vote a été un succès dans ses conséquences pour la position de la France dans l’Europe et de l’Europe dans le monde ? Ceux qui croient avoir toujours raison, à savoir les crétins satisfaits qui préfèrent maintenir leurs convictions et vitupérer la réalité que corriger leur erreur. Or un erreur qui perdure est une faute.
Les élections présidentielles (3 candidats en faveur du OUI arrivés en tête) et législatives sont une bonne indication que les crétins satifaits (et donc fautifs) sont ultra-minoritaires ; c’est une bonne nouvelle.
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