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ripouette ripouette 25 juillet 2007 18:15

Seul 3% des écrivains vivent de leur plume en France. (Chiffre donné par un éditeur sur France Inter il y a quelque mois) Mais tous ne souhaitent peut-être pas devenir des « professionnels ». Ce qui est certain c’est que toutes les maisons d’édition connaissent un très grande affluence d’envois de manuscrits et que sur cette masse (manne ?) très peu passe la barre du commité de lecture.

Le métier d’écrivain ou du moins l’envie d’être publié de façon traditionnelle est donc plus fort que jamais. C’est peut-être dans cette envie qu’il faut chercher l’afflue passif de nouveaux romans chaque année. Peut-être dans la curiosité des lecteurs que tu appelles de tes voeux aussi.

Je ne pense pas qu’écrivain soit un « métier » au sens littéral, c’est le plus souvent un accident de parcours qui fait se rencontrer une oeuvre et un public, offrant à son auteur les moyens de ne vivre que de ses écrits.

En revanche, je reste sceptique sur l’aspect « c’était mieux avant » de ton article, bah non c’était pareil, seulement la population n’était pas entièrement alphabétisée, ce qui réduisait d’autant la capacité de publication des éditeurs.

Alors tous écrivains ? Oui ! que ce soit sur papier ou en ligne ! Vive l’imaginaire !

Tous écrivains professionnels ? bah non la grande majorité des romans continuera à être lue par le cercle famille / amis / amis des amis de l’auteur ! Même quelques chefs-d’oeuvre !


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