D’après le texte, nos zélites seraient nos dirigeants, qu’en est-il des chercheurs, prix nobels, philosophes, écrivains, « french doctors », ... ?
Mystère !
Il semble pour l’auteur que les seules zélites soient déterminées par le pouvoir politique.
Il nous parle de « respect mutuel », de « crainte », « d’affection » et je ne vois guère comment assembler ces respect, crainte et affection !
« Qu’ils me haïssent, pourvu qu’ils me craignent ! (Oderint dum metuant) » disait l’empereur romain Tibère. Ce n’est pas nouveau et cela ne saurait attirer aucune affection.
Quant au respect, cela ne se réclame pas, mais se mérite.
A propos, il faudrait trouver en quoi nos dirigeants montreraient quelque respect que ce soit envers le citoyen lambda.
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